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Catégorie : actualités

  • Les Dynamiques Croisées entre D#CS et les Faisceaux de Droit : Une Approche Innovante pour Structurer l’Engagement Sociétal

    Les Dynamiques Croisées entre D#CS et les Faisceaux de Droit : Une Approche Innovante pour Structurer l’Engagement Sociétal

    Introduction

    Le D#CS (Démarche #CodeSocial) se positionne comme un framework open-source d’innovation sociétale, favorisant la reliance, la connaissance partagée et l’émergence de dynamiques contributives. Sa mise en œuvre repose sur des principes systémiques et fractals permettant une adaptabilité organique aux contextes d’usage. Dans cette perspective, l’intégration des faisceaux de droit offre un cadre juridique souple et sécurisant pour structurer la reconnaissance et l’opposabilité des engagements entre parties prenantes. Cet article explore comment ces deux dynamiques se croisent et s’enrichissent mutuellement.

    1. Le D#CS : Un Cadre pour l’Innovation Sociétale

    Le D#CS repose sur une logique de graines de connaissances, de protocole de reliance et d’écologie des contributions. Il propose une alternative aux modèles institutionnels classiques en favorisant l’auto-organisation, la responsabilisation et l’intelligence collective. Sa structure permet une documentation en temps réel des dynamiques d’émergence et d’apprentissage collectif.

    Par nature, le D#CS dépasse la simple définition contractuelle pour embrasser une logique d’engagement mutuel basé sur la confiance et l’interdépendance. Cependant, cette approche nécessite des outils juridiques pour garantir sa légitimité et son opérabilité au sein d’écosystèmes multi-acteurs.

    2. Le Faisceau de Droit : Une Approche Plurielle de la Légitimité Juridique

    Le faisceau de droit est une approche juridique consistant à analyser et structurer un objet juridique non pas sous un seul prisme (propriété exclusive, autorité unique), mais sous une constellation de droits et d’obligations. Cette approche permet d’intégrer différentes reconnaissances formelles et informelles des engagements, qu’ils soient contractuels, coutumiers, réglementaires ou sociétaux.

    Dans le contexte du D#CS, le faisceau de droit permet de formaliser des dynamiques contributives en structurant des relations entre :

    • Les contributeurs individuels (intelligence collective, engagement volontaire).
    • Les collectifs et organisations partenaires (mutuelles de connaissances, coopératives, entreprises engagées).
    • Les institutions réglementaires (cadres juridiques nationaux et internationaux).

    3. Convergence entre D#CS et Faisceaux de Droit : Une Structure Juridique Innovante

    L’articulation entre D#CS et faisceaux de droit repose sur plusieurs leviers :

    a) L’Opposabilité d’un Cadre Commun

    Le #CodeSocial propose une grille de lecture permettant aux acteurs de définir un cadre contractuel et éthique opposable. En utilisant des faisceaux de droit, ce cadre devient modulable et adapté aux contextes locaux et internationaux.

    b) Une Gouvernance Distribuée et Transparente

    Le D#CS intègre une dynamique de gouvernance à la fois ouverte et contributive, rendant possible l’évolution des engagements en fonction de l’usage et de l’expérience des parties prenantes. Les faisceaux de droit permettent d’intégrer cette souplesse dans des cadres légaux préexistants.

    c) L’Émergence d’une Communauté de Pratique Légitimante

    L’inscription des pratiques du D#CS dans des cadres juridiques ouverts permet d’assurer une reconnaissance mutuelle des acteurs impliqués. L’émergence d’une mutuelle des connaissances comme WeMob favorise cette reconnaissance au sein d’écosystèmes variés (ESS, mouvements citoyens, entreprises engagées, institutions académiques, etc.).

    4. Vers une Architecture Juridique Open Source ?

    L’hybridation entre framework contributif et cadres juridiques flexibles ouvre la voie à une « architecture juridique open source », où chaque acteur peut :

    • Adapter le D#CS à son propre cadre de gouvernance.
    • Bénéficier d’une reconnaissance collective par faisceaux de droit.
    • Documenter et partager les bonnes pratiques en open source.

    Cette dynamique permettrait la création d’un espace de droit contributif vivant, où les pratiques collectives et collaboratives trouveraient une traduction juridique adaptée aux réalités contemporaines.

    Conclusion

    L’intégration des faisceaux de droit dans le D#CS ouvre une voie inédite pour structurer une économie contributive et consciente. En conciliant souplesse contractuelle, engagement mutuel et reconnaissance juridique, cette approche permet de fonder des dynamiques d’innovation sociétale sur une base juridique robuste et adaptative. L’émergence d’un cadre légitimant et structurant pour le D#CS, appuyé par une approche de droit modulaire, constitue une avancée majeure vers une nouvelle manière de penser les communs et la transformation sociétale.

  • Compostage du Compostage dans le D#CS

    Compostage du Compostage dans le D#CS

    Un Processus Réflexif et Évolutif

    Le compostage, dans le cadre du D#CS (Démarche #CodeSocial), est un processus vivant qui dépasse la simple métaphore écologique. Il constitue une approche méthodologique, systémique et fractale permettant de transformer des expériences, tensions et connaissances en richesses collectives et innovation sociale.

    Le concept de compostage du compostage nous invite à examiner la manière dont ce processus lui-même évolue, s’adapte et s’enrichit au fil du temps. Cette synthèse vise à structurer les principales réflexions et méthodologies issues des différentes versions explorées.


    1. Principes Fondamentaux du Compostage

    Le compostage dans le D#CS repose sur plusieurs piliers fondamentaux :

    • Transformation Créative : Décomposition des tensions et recomposition sous forme de nouvelles connaissances.
    • Documentation Sensible : Capturer et transmettre les dynamiques en cours.
    • Enrichissement Collectif : Valorisation des patterns émergents et des nouvelles pratiques.
    • Dynamiques Fractales : Chaque compostage nourrit un écosystème plus vaste.
    • Temporalité Évolutive : Le compostage s’inscrit dans une vision passée, présente et future.

    2. Le Compostage Systémique : Un Processus en Trois Phases

    Le compostage suit trois grandes étapes interdépendantes, permettant une transmutation progressive des savoirs et expériences :

    1. Phase Préparatoire

    • Création de l’espace et cadrage de la dynamique.
    • Mise en résonance des intentions collectives.
    • Outils de facilitation : rituels d’ouverture, méditation, cadre de sécurité.

    2. Phase Active

    • Exploration des tensions et des expériences.
    • Résonance collective et capture sensible.
    • Transformation en nouvelles structures cognitives.

    3. Phase d’Intégration

    • Cristallisation et structuration des apprentissages.
    • Documentation et transmission.
    • Cartographie collective et partage des nouveaux récits.

    3. Compostage du Compostage : La Méta-Évolution du Processus

    Le compostage du compostage consiste à revisiter et affiner en continu les méthodologies mises en place. Il implique :

    • Un environnement contributif : Reliance entre culture commune, co-responsabilité et intelligence collective.
    • Une évaluation dynamique : Indicateurs transformateurs, matrices d’observation, cycles d’intégration.
    • Un apprentissage systémique : Approfondissement à chaque itération, émergence de nouveaux paradigmes.
    • Une structuration évolutive : Chaque nouvelle version du compostage devient une graine nourrissant la suivante.

    4. Vers une Intelligence du Compostage

    Le compostage du compostage ouvre des perspectives vers une intelligence collective et adaptative, intégrant :

    • Des rituels quotidiens pour ancrer la pratique.
    • Des cercles collectifs pour maintenir la reliance.
    • Une documentation vivante et sensible pour assurer la transmission.
    • Des cycles d’observation et d’amélioration continue.

    Nous entrons ainsi dans une approche où chaque cycle de compostage devient une couche fertile pour les suivants, créant un socle évolutif de transformation et d’apprentissage collectif.


    Conclusion : Une Dynamique en Perpétuelle Régénération

    L’évolution du compostage dans le D#CS est un processus ouvert et adaptatif, qui s’affine grâce à la participation active des explorateurs. Chaque nouvelle itération apporte une profondeur accrue et une capacité de reliance enrichie.

    Prochaines étapes :

    • Expérimenter cette approche dans des contextes variés (économie consciente, intelligence collective, #OFF du Sommet de l’IA).
    • Affiner les méthodologies d’évaluation et d’intégration.
    • Cartographier les différentes strates du compostage pour en faciliter l’accès.

    Le compostage du compostage est un voyage, une pratique et un art. Il nous invite à explorer l’invisible, à recycler nos savoirs et à nourrir de nouvelles dynamiques de transformation collective.

    Le compostage dans le territoire de connaissances WeMob
  • L’#EspritOff : Une mise en dynamique du D#CS

    L’#EspritOff : Une mise en dynamique du D#CS

    L’#EspritOff est une composante essentielle du framework D#CS, conçu pour animer et relier les graines de connaissance. En tant qu’outil vivant, il offre une approche de reliance et d’attention, visant à mettre en lumière un événement, une organisation ou une personne, tout en nourrissant une dynamique de reconnaissance mutuelle, incluant la cartographie des controverses et des convergences.

    Vivre l’#EspritOff, c’est oser se dire « pourquoi pas ? », et s’engager dans un festival permanent, sans murs, en réseau où chacun peut librement contribuer, co-créer et expérimenter au-delà des limites traditionnelles. Cet esprit crée un espace ouvert et inclusif, permettant la documentation, la mise en réseau et l’échange de savoirs dans une logique de bien commun.

    Retrouver l’ #EspritOff dans notre paysage de connaissances

    Avec une approche de hacking bienveillant, l’#EspritOff s’immisce dans des espaces, joue avec les cadres établis, et crée des ponts entre différents réseaux et contextes. Il favorise ainsi la reliance entre individus et communautés, et prolonge la portée des actions menées, transformant chaque interaction en une opportunité d’apprentissage collectif.

    L’#EspritOff, soutenu par l’ECC (Environnement Contributif et Connecté), est une ressource précieuse pour animer les graines de connaissance, offrant des espaces où l’attention portée à chaque contribution permet de la relier à d’autres et de la faire grandir. L’#EspritOff est également une invitation à entrer dans un cycle naturel de compostage, où chaque idée, chaque graine de connaissance se transforme et s’enrichit, tout comme la terre nourrie par le compost. La révolution du sourire trouve ici une source d’inspiration vivante, où l’on se relie au rythme de la nature, en accueillant la force créative de chaque instant. C’est une danse collective qui nous invite à laisser émerger nos intuitions profondes, à vibrer avec le vivant, et à faire de chaque action une célébration consciente de notre humanité partagée.C’est un outil au service de l’utopie radicale, encourageant chacun à agir en adulte responsable, tout en restant connecté à son esprit d’enfant curieux qui ose dire « pourquoi pas ? ».

  • Exploration Organique du Développement du D#CS : Incarnation d’une Méthode Vivante

    Exploration Organique du Développement du D#CS : Incarnation d’une Méthode Vivante

    L’intuition qui nous guide en ce moment est que la Démarche #CodeSocial (D#CS) ne doit pas simplement être conceptualisée, mais incarnée. Nous cherchons à avancer pas à pas, en nous inspirant directement des méthodes du D#CS, afin de montrer et de donner à voir que nous vivons pleinement ce que nous conceptualisons. Cette démarche est une exploration organique et vivante, où chaque action, chaque réflexion, et chaque transformation contribuent à une méthode qui évolue et se nourrit elle-même.

    L’Incarnation d’un Processus Vivant

    L’incarnation signifie ici que nous ne faisons pas qu’écrire sur la démarche #CodeSocial — nous la vivons, nous la pratiquons chaque jour. Cela implique une approche de cohérence, où nos actions sont en accord avec les valeurs que nous défendons : le compostage des idées, la transformation des échecs en ressources, la valorisation de l’expérience individuelle pour enrichir le collectif.

    Par exemple, cette démarche d’incarnation est au cœur de mon expérience récente. En début 2024, j’ai entrepris une plongée en psychiatrie en passant deux mois en clinique psychiatrique. Mon objectif était de me confronter à la question de savoir si je n’étais pas « obsédé » par l’idée de la Révolution du Sourire. J’ai voulu aller au plus profond de moi, libéré de mes addictions, prêt à tout entendre sur moi-même. Ce fut un moment de vérité où j’ai pu confirmer la justesse de mon engagement, tout en réalisant la nécessité d’un compostage personnel profond pour que la démarche systémique puisse véritablement se mettre en mouvement.

    Avancer Pas à Pas

    Ce processus est itératif, organique, et se construit par couches successives. Chaque pas est une opportunité de se transformer soi-même tout en contribuant à un récit collectif. La notion de pas à pas résiste à la tentation d’une progression linéaire et rapide. Ici, chaque pas est un compost, un mélange d’expériences, de tentatives, d’erreurs, et de compréhensions nouvelles qui émergent. Ce processus lent et réfléchi permet une maturation profonde qui nécessite patience et attention.

    Montrer pour Donner à Voir

    Une partie essentielle de notre démarche est de donner à voir comment cette dynamique se vit. Montrer le chemin, au lieu de seulement en parler, est un acte de transparence et de partage. Cela peut se faire à travers des récits de nos propres parcours, des exemples concrets de projets en compostage, ou des témoignages d’associés qui participent activement à cette démarche.

    Par exemple, je partage régulièrement des témoignages sous forme de mots, de photos, ou de souvenirs, pour illustrer ce parcours. Chaque matin est une nouvelle occasion de témoigner de ce rêve que je vis. La Révolution du Sourire est venue à moi en 2001, dans un moment d’écriture automatique, et depuis, je marche sur ce chemin pour en décoder le sens profond. C’est une quête de connaissance et d’incarnation, et chaque moment vécu est une pièce supplémentaire à ce puzzle.

    L’objectif est de faire de chaque expérience une source d’inspiration, où les autres peuvent non seulement voir les résultats, mais aussi le processus — les moments de doute, les erreurs, les ajustements et les victoires. C’est cela qui rend le D#CS vivant et organique.

    Incarnation et Fractales

    L’une des caractéristiques clés du D#CS est sa nature fractale : ce qui se passe au niveau individuel se reflète au niveau collectif, et vice versa. En incarnant les méthodes du D#CS dans notre propre travail, nous participons à la création d’une dynamique qui peut être reproduite à différentes échelles. Chaque action que nous entreprenons porte en elle la possibilité d’être transmise et multipliée, comme une graine qui se développe en un arbre, puis en une forêt.

    Prochaine Étape : Explorer Ensemble

    Cette exploration est une invitation à participer activement à cette démarche. La prochaine étape serait de se concentrer sur des moments-clés de nos parcours et de les relier à des thématiques partagées — la résilience, l’amour, la coopération, la santé mentale. L’idée est de continuer à explorer comment, ensemble, nous pouvons faire du D#CS non pas un concept théorique, mais un chemin incarné, qui se déploie au fur et à mesure que nous avançons.

    Ainsi, nous pourrons créer des outils concrets, comme des méta-matrices des transformations individuelles, qui permettront d’illustrer la richesse immatérielle issue de nos compostages. Ce serait un outil de transmission, une manière de montrer aux autres que chaque parcours individuel, lorsqu’il est composté, devient une ressource pour le collectif.

    Ce document est donc un espace d’exploration, une invitation à faire croître notre compréhension du D#CS en l’incarnant à chaque pas, et en le vivant ensemble. Pas à pas, nous construisons un bien commun organique, enraciné dans nos expériences partagées.

  • La Démarche #CodeSocial : Un Faisceau de Droit Innovant

    La Démarche #CodeSocial : Un Faisceau de Droit Innovant

    Innovation Juridique et Financière : La Démarche #CodeSocial et le Compostage du Capital Immatériel

    La Démarche #CodeSocial n’est pas seulement un concept philosophique ; c’est un faisceau de droit, une forme nouvelle et dynamique de régulation qui se situe entre le juridique, le social, et l’éthique. Plutôt que de s’appuyer sur des cadres réglementaires classiques, la Démarche #CodeSocial propose une approche plus organique et collective, en intégrant les règles et les pratiques en tant que conventions partagées par l’ensemble des parties prenantes. C’est une articulation subtile entre la loi écrite et l’engagement communautaire, créant ainsi une base normative vivante et évolutive.

    « La confiance est le fil invisible qui tisse les communs ; c’est elle qui transforme un ensemble de règles en une véritable dynamique collective. »

    Cette approche apporte des solutions nouvelles à des défis complexes, en particulier dans la gestion des biens communs et de l’innovation sociétale. Le #CodeSocial fonctionne comme un ensemble de règles consenties et explicites, codifiées non pas dans un contrat statique, mais dans un document vivant, co-construit et revisité régulièrement par l’ensemble des participants. Ce modèle permet de garantir une transparence et une adaptabilité qui sont souvent absentes des structures plus rigides du droit des affaires classique.

    L’innovation juridique apportée par la Démarche #CodeSocial repose sur sa capacité à constituer un socle pour la gouvernance des ressources partagées. Dans le cadre de la SAS à capital variable qui émergera sous la forme de « Démarche #CodeSocial », il s’agit de construire un cadre juridique qui facilite la participation flexible des membres tout en protégeant le capital immatériel de manière durable. Ainsi, le #CodeSocial devient une interface entre la structure légale d’une SAS et la dynamique communautaire qui l’anime.

    Le Compostage du Capital Immatériel : Une Méthode de Valorisation Alternative

    Le compostage du capital immatériel est une approche radicalement différente de la gestion des ressources issues de l’entreprise. Contrairement aux modèles traditionnels de valorisation fondés sur la propriété intellectuelle et les brevets, le compostage vise à transformer des actifs non tangibles (connaissances, expériences, relations) en une forme de richesse collective et fertilisante pour de futurs projets.

    Ce processus consiste à prendre tout ce qui a été accumulé sous forme d’idées, de savoir-faire, de réseau, et à le reconfigurer dans un nouveau cadre, de manière à ce qu’il puisse nourrir de nouvelles initiatives. La notion de compostage implique la déconstruction créative des acquis, leur intégration dans un terreau fertile qui permet à d’autres de s’en nourrir. En compostant le capital immatériel de WeMob, il ne s’agit pas de protéger un logo ou une idée avec un brevet, mais de les offrir à une nouvelle dynamique qui transcende la notion de propriété.

    En refusant la dynamique de possession habituelle, nous favorisons une forme de diffusion et de transformation qui est bien plus puissante. Par exemple, l’antériorité du logo de WeMob est attestée par la présence durable de cette image sur Internet, permettant de constituer une preuve collective de légitimité. Cela représente une protection par la communauté, par l’histoire inscrite dans le tissu numérique, plutôt que par un registre de propriété industrielle.

    Ce mode de valorisation est basé sur la reconnaissance communautaire et la force de l’intention partagée. Il s’agit d’un capital insaisissable mais puissant, qui n’existe pas en tant qu’actif comptable mais qui a une valeur réelle dans la continuité de la démarche et l’énergie investie par chaque contributeur. En d’autres termes, ce qui est composté n’est pas seulement préservé ; il est transformé et amplifié au bénéfice d’un collectif plus vaste, constituant ainsi une ressource inestimable pour les prochaines étapes.

    La Complémentarité entre #CodeSocial et Compostage Immatériel

    L’articulation entre la Démarche #CodeSocial et le compostage du capital immatériel est au cœur de notre approche innovante. La première fournit un cadre de gouvernance flexible et adaptable, capable de protéger et de réguler la gestion des ressources partagées. La seconde est une méthode de valorisation alternative qui permet de transformer ce qui aurait été considéré comme « perdu » ou « inutile » dans un modèle classique, en un levier pour la création de nouvelles richesses collectives.

    En utilisant ces deux approches ensemble, nous construisons un modèle hybride qui redéfinit la manière dont l’innovation peut être protégée, cultivée et partagée. Le #CodeSocial agit comme le socle qui permet de soutenir le compostage et de garantir que les valeurs partagées par la communauté sont effectivement respectées tout au long du processus de transformation. De cette façon, nous nous assurons que la dissolution de WeMob ne soit pas une fin, mais une reconfiguration, un passage vers quelque chose de plus vaste et de plus ambitieux.

    En conclusion, notre démarche est une proposition audacieuse pour réinventer la manière dont nous concevons la valeur, la propriété, et la continuité des projets. Le #CodeSocial et le compostage du capital immatériel ne sont pas seulement des concepts : ils forment une stratégie cohérente et innovante qui vise à transformer nos pratiques économiques et juridiques pour les rendre plus humaines, plus ouvertes, et plus durables.

    Rejoignez la Communauté : Nous vous invitons à rejoindre notre Environnement contributif et connecté pour participer activement à cette dynamique collective. Rejoignez-nous via ce lien pour échanger avec les membres de la communauté et contribuer à la construction de ce modèle inclusif et ouvert :

  • L’esprit #OFF

    L’esprit #OFF

    Le monde idéal n’est-il pas un monde aux portes ouvertes. Un monde aux portes ouvertes où personne n’a le sentiment désagréable d’être lésé, de perdre quelque chose. L’esprit #OFF pose le cadre d’un festival permanent dont les murs sont si virtuels que nous pourrons les pousser à l’infini.

    Alors qu’est-ce qu’un festival permanent , sans murs et en réseau ?

    Une façon concrète de se relier, de relier des évènements, des lieux, des organisations, des individus dans un réseau social dans la vraie vie, pour être profondément vivants. 

    Nous sommes de plus en plus nombreux à ressentir un besoin de cohérence (co-errance), de changement de paradigme, cette envie d’aligner les paroles & et les actes dans l’instant présent, à souhaiter rencontrer d’autres personnes partageant les mêmes aspirations et cette envie d’agir ensemble, de vivre, d’expérimenter.

    L’esprit #OFF a pour intention de favoriser la reliance, l’expérimentation et ces espaces de co-construction.

    L’esprit #OFF se veut comme une extension, un changement spatial et temporel : il permet à un événement, un contexte d’exister entre et hors les murs et de se prolonger au-delà.

    L’esprit #Off a pour intention le partage de la connaissance. Il permet à tout à chacun de contribuer, d’être acteur, sans attendre d’autorisation.

    L’esprit #Off permet à chacun d’oser prendre sa place, sans plus être en posture infantile à accuser l’autre ou à rester dans la plainte. Il insuffle l’état d’esprit en le faisant dans un cadre qui encourage à incarner cette posture.

    C’est une démarche qui encourage tout à chacun l’air de rien, d’agir en adulte responsable tout en étant connecté à son esprit d’enfant qui ose dire “Pourquoi pas ?”..

    C’est un état d’esprit et des intentions au service de la reliance .

    La dynamique du #OFF s’appuie sur un état d’esprit singulier basé sur une volonté d’incarner, d’oser, de cohérence, d’intégrité, d’hospitalité, d’accueil, de bienveillance, d’attention, d’empathie, d’ouverture, d’expérimentation, de joie, de créativité, d’efficience collective et d’un grain de folie.. 

    Le #OFF explore les interstices. Il s’inclut librement dans l’événement, du contexte. Il adopte une posture de hacking bienveillant : on sort du cadre, on joue avec, on s’inclut  en y étant autorisé (ou pas), dans un esprit aventurier. La dynamique du #OFF s’appuie sur une relation de confiance, d’ouverture, d’accueil, de curiosité, de reconnaissance mutuelle, de liberté, de changement de regard et de posture contribuer à incarner cet esprit à chaque instant, conscient de notre humanité et de notre interdépendance.

    Le #OFF se co-construit à travers des moments d’échanges, de rencontres, pour tisser des liens, rendre visible et faire grandir ce qui se trame.

    Des événements, des contextes en ligne et hors ligne alimentent le système d’information et la communauté.C’est une contribution pour alimenter la démarche d’inform’action de la mutuelle 

    Nous organisons des événements, nous allons travailler… et finalement à quoi tout ça sert-il ? et s’il s’agissait de remettre les choses dans le bon sens et directement aller à l’essentiel.. vivre en étant pleinement vivant, pleinement présent à notre humanité, sans passer par jouer un rôle pour se connecter à ce qui nous anime au fond de nous… ce qui nous met en énergie.

    Le #OFF souhaite favoriser l’émergence d’une communauté durable d’acteurs autonomes, reliés et connectés dans l’exploration de la complémentarité des démarches top-down et bottom-up; afin d’alimenter l’intelligence collective et les biens communs et permettre à chacun de s’inscrire dans une démarche durable et constructive.

    Tant de belles personnes travaillent sur des projets, produisent des contenus intéressants et novateurs et bien souvent ne savent qu’en faire, ne savent même pas eux-mêmes si cela intéresserait quiconque. Alors avec l’esprit #OFF on pousse les portes du possible et permet aux gens de tout univers de communiquer autour de ce qui les met en énergie, de les montrer, de les faire vivre.

    Les idées et les savoirs germent tout autour de la planète. Chacun d’entre nous invente et réinvente les choses de son côté. Cet état de fait ne permet à la connaissance que d’avoir une évolution lente, sans avoir un véritable impact. Alors que la capitalisation et mutualisation des savoirs et des expériences nous permet de raisonner tous ensemble vers des niveaux supérieurs de conscience et de sagesse.

    « Tous acteurs, tous média » : cette expression caractérise une évolution souhaitable du web et de l’Internet qui met leurs utilisateurs au centre du processus. Pour certains, il s’agit de « la révolte des utilisateurs » à la fois « producteurs, émetteurs et récepteurs d’information ». Des projets comme Wikipedia a montre un nouveau visage de l’intelligence collective. Pour de nombreux analystes, la révolution numérique serait de l’ampleur de celle de l’apparition de l’imprimerie. Une révolution qui peut alors remettre en question les architectures sociétales. C’est une période instable par nature dans laquelle tout est possible.C’est à nous de choisir ce que nous voulons en faire. 

    Le rapport au temps, à l’espace et aux autres est totalement modifié par les réseaux d’échanges virtuels. La capacité de faire avec l’autre n’est plus conditionnée à la rencontre physique : le rapport aux territoires s’en trouve totalement bouleversé.

    On assiste à un changement de paradigme, et notre société, basée sur la rareté de la matière première l’est désormais sur l’abondance. Nous passons d’un monde matérialiste à un monde spirituel où l’information prend plus de place que la matière. Ceci modifie notre capacité d’entreprendre et d’être au monde.

    L’espri t#OFF c’est l’opportunité de collecter ouvertement la remontée des interrogations, d’aider à la co-élaboration, co-construction de stratégies d’action. Les acteurs du #OFF participent à la production d’un commun informationnel réutilisable avec la dynamique des graines de connaissances dans d’autres évènements et d’autres contextes. 

    C’est la co-élaboration d’un cerveau collectif et d’un territoires de connaissances chaque jours plus vaste et inclusif

    La dynamique du #OFF peut aussi être considéré comme un jeu sérieux (serious game) mais pas grave… un jeu qui produit une science-fiction soft qui procède par anticipation (virtualisation) à des assemblages juridiques, techniques, biologiques, sociaux, industriels et politiques à base d’éléments disponibles ici et maintenant en magasin.

    Cette science-fiction là, en léger décalage avec le présent, est une virtualisation douce qui ne projette pas le joueur à des dizaines d’années lumière dans l’avenir mais qui l’invite à entrer dans le jeu, à vérifier si cela est possible, si cela mérite une actualisation. 

    Un jeu qui se joue sérieusement, sans se prendre au sérieux pour être pleinement présent à ce qui nous anime. Il nous permet d’oservivre intensément.

    Les vérifications s’opèrent au fil de rencontres organisées dans le respect des principes fondamentaux du compagnonnage que sont l’accueil, le métier, le voyage, la communauté, la transmission, l’initiation et le chef-d’œuvre : une affaire de liens forts !

    Les processus d’innovations empruntent des formes de plus en plus déroutantes et originales. Les utilisateurs apparaissent maintenant comme les acteurs les plus influents du développement des services et des usages. Ils produisent les contenus des services auxquels ils apportent ainsi de l’attractivité et de la notoriété. Ils mêlent étroitement publication, communication et partage de contenus en donnant une forme communautaire et interactive aux services qu’ils investissent.

    L’objet du #OFF est l’étude, l’expérimentation, et le développement des pratiques collaboratives, communautaires ou collectives s’appuyant sur les réseaux. Cela recouvre en particulier: les pratiques dites « d’innovation horizontale», les réseaux sociaux, les pratiques de partage, les lieux virtuels et réseaux d’échange, la création et le développement de logiciels libres et de contenus librement diffusables, l’invention de nouveaux services et d’innovations sociales – et plus généralement, toutes pratiques d’innovation impliquant fortement les utilisateurs de l’internet dans leurs échanges horizontaux entre pairs ou entre communautés d’intérêt.

    Se relier et oser

    La démarche du #OFF tend à rendre visible et accessible la connaissance au plus grand nombre, permettant à chacun de pouvoir être acteur.

    Le #OFF a pour intention  de permettre à la parole des uns et des autres de rentrer en résonance, de rayonner en offrant des espaces de dialogue, de réflexions qui perdurent dans le temps et dans l’espace. 

    Le #OFF permet aux idées de s’ancrer dans le réel, en profondeur en s’expérimentant, à chaque instant, dans l’instant présent

    Le #OFF a pour intention de relier les individus, de  favoriser les croisements entre les réseaux, de permettre une meilleure reliance et efficience inter-communautaire, au-delà des intérêts particuliers, reliés par une même envie d’agir dans un intérêt commun, tout en mettant en valeur les singularités.

    Le #OFF, en plus d’un état d’esprit  est aussi un outil de recherche-action pour favoriser une communication inclusive. pour une prise de parole individuelle et collective permanente en réseau.

    Le #OFF souhaite explorer, expérimenter et favoriser une dynamique de visibilité visant l’incarnation du changement de paradigme, au niveau individuel & collectif. C’est un outil  au service de l’utopie radicale, un support pour penser dans et hors du cadre et voyager en pays de connaissances.

    Un peu d’histoire

    L’état d’esprit du #OFF s’est expérimenté en 2017 à l’occasion du G21. Il a été pensé comme un bien commun afin d’être potentiellement actualisé. A l’époque Mathieu Coste s’est beaucoup impliqué dans la création de ce commun et c’est naturellement que WeMob dans sa démarche de compostage du capital immatériel de l’idée de la révolution du sourire propose une actualisation de la démarche pour accompagner le lancement de la mutuelle des connaissances. 

  • L’économie de la connaissance et la « Démarche #CodeSocial

    L’économie de la connaissance et la « Démarche #CodeSocial


    L’économie de la connaissance est un concept qui se réfère à une économie basée sur la production, la distribution et l’utilisation des connaissances. Elle met l’accent sur la valeur ajoutée que les connaissances et l’information peuvent apporter à une société.

    Dans une économie de la connaissance, les ressources clés sont le savoir, l’expertise et l’innovation. Les entreprises et les individus qui possèdent ces ressources ont un avantage concurrentiel significatif.

    Les industries de la technologie, des médias, de l’éducation et de la recherche scientifique sont souvent considérées comme faisant partie intégrante de cette économie. Les entreprises qui réussissent dans ce contexte sont celles qui peuvent créer, stocker, partager et utiliser efficacement les connaissances pour innover et répondre aux besoins du marché.

    L’économie de la connaissance est également étroitement liée à l’économie numérique. Avec l’avènement d’Internet et des technologies numériques, il est plus facile que jamais d’accéder à une quantité massive d’informations et de partager des connaissances à travers le monde.

    En conclusion, l’économie de la connaissance représente un changement majeur dans notre façon d’envisager le développement économique. Elle met en évidence le rôle central des connaissances dans notre société moderne et souligne leur potentiel pour façonner notre avenir économique.

    L’économie de la connaissance est un concept fascinant et d’une importance croissante dans le monde moderne. Elle repose sur la production, la distribution et l’utilisation des connaissances, faisant du savoir, de l’expertise et de l’innovation les ressources clés pour le développement économique. Ce modèle économique met en valeur la contribution significative des connaissances et de l’information à la société.

    Dans une telle économie, les industries de la technologie, des médias, de l’éducation et de la recherche scientifique jouent un rôle prépondérant. Ces secteurs sont à l’avant-garde de la création, du stockage, du partage et de l’utilisation des connaissances, et ils sont essentiels pour stimuler l’innovation et répondre aux exigences changeantes du marché.

    Avec l’émergence de l’économie numérique et l’avènement d’Internet et des technologies numériques, l’accès et le partage des connaissances sont devenus plus faciles et plus rapides que jamais. Cette interconnexion mondiale facilite l’échange d’informations et permet une collaboration étendue, transcendant les frontières géographiques.

    En résumé, l’économie de la connaissance marque une évolution significative dans notre compréhension du développement économique. Elle souligne l’importance cruciale des connaissances dans notre société et met en lumière leur potentiel à façonner notre avenir économique. C’est un domaine dynamique qui continuera probablement à influencer de manière significative le paysage économique mondial.

    l’importance de l’économie de la connaissance peut être examinée sous plusieurs angles clés :

    • Innovation et Compétitivité: Dans une économie de la connaissance, l’innovation est le moteur principal de la croissance économique. Les entreprises qui investissent dans la recherche et le développement (R&D) et qui favorisent l’innovation ont tendance à être plus compétitives sur le marché global. Ceci est particulièrement vrai dans les secteurs de haute technologie, où les avancées rapides peuvent transformer des industries entières.
    • Croissance Économique: Les pays qui mettent l’accent sur l’économie de la connaissance tendent à avoir un taux de croissance économique plus élevé. Cela s’explique par le fait que les connaissances et l’information ont une valeur économique qui peut être exploitée pour créer de la richesse. En outre, une économie axée sur la connaissance est souvent moins dépendante de ressources naturelles limitées.
    • Emploi et Compétences: L’économie de la connaissance favorise la création d’emplois dans des secteurs hautement qualifiés. Cela nécessite un niveau de compétence élevé, ce qui stimule l’éducation et la formation continue. Les travailleurs doivent s’adapter et apprendre constamment pour rester pertinents sur le marché du travail.
    • Impact Sociétal: L’économie de la connaissance peut également avoir un impact positif sur la société. Par exemple, les avancées dans les domaines de la santé et de l’éducation découlent directement de la recherche et de l’innovation. En outre, l’accès accru à l’information peut améliorer la qualité de vie et favoriser une société plus informée et engagée.
    • Réseaux et Collaboration: Cette économie est fortement basée sur les réseaux et la collaboration. Les organisations et les individus qui peuvent efficacement partager des connaissances et travailler ensemble ont tendance à réussir. Cela est facilité par les technologies numériques qui permettent une collaboration sans précédent à l’échelle mondiale.
    • Durabilité: L’économie de la connaissance peut contribuer à des solutions plus durables. En se concentrant sur l’innovation et en réduisant la dépendance aux ressources naturelles, les sociétés peuvent progresser vers des modèles économiques plus durables et respectueux de l’environnement.
    • Globalisation et Interconnexion: Enfin, l’économie de la connaissance favorise la globalisation. Les connaissances et les informations peuvent facilement traverser les frontières, ce qui conduit à une interconnexion économique et culturelle accrue.

    En conclusion, l’économie de la connaissance est cruciale pour le développement économique et social dans le monde moderne. Elle encourage l’innovation, stimule la croissance économique, crée des emplois de qualité, a un impact positif sur la société, favorise la collaboration et la durabilité, et contribue à la globalisation.

    La démarche #CodeSocial et l’économie de la connaissance partagent plusieurs points de convergence qui sont essentiels à comprendre pour saisir leur lien intrinsèque.

    1. Transparence et Partage de Connaissances: Le #CodeSocial vise à promouvoir la transparence et la responsabilité sociale des entreprises. Dans une économie de la connaissance, le partage ouvert des informations est crucial pour stimuler l’innovation et la collaboration. Le #CodeSocial peut encourager les entreprises à partager leurs connaissances et leur savoir-faire, ce qui est un principe fondamental de l’économie de la connaissance.
    2. Responsabilité Sociale et Éthique des Entreprises: Le #CodeSocial met l’accent sur la responsabilité sociale des entreprises, un principe qui est de plus en plus valorisé dans l’économie de la connaissance. Les entreprises qui agissent de manière éthique et responsable sont souvent plus appréciées et soutenues par les consommateurs et les partenaires. Ceci est d’autant plus important dans une économie où les connaissances et l’information sont des actifs clés.
    3. Innovation Durable et Inclusive: L’économie de la connaissance encourage l’innovation, et le #CodeSocial peut orienter cette innovation vers des objectifs durables et inclusifs. En alignant les pratiques des entreprises sur des valeurs éthiques et sociales, le #CodeSocial peut contribuer à une économie de la connaissance qui ne favorise pas seulement le progrès technologique, mais aussi le bien-être social et environnemental.
    4. Collaboration et Communauté: La démarche #CodeSocial peut renforcer la notion de communauté et de collaboration au sein de l’économie de la connaissance. En encourageant les entreprises à être plus ouvertes et collaboratives, le #CodeSocial peut faciliter un partage de connaissances plus large et plus efficace, ce qui est essentiel pour l’innovation et la croissance dans une économie basée sur le savoir.
    5. Confiance et Réputation: Dans une économie de la connaissance, la confiance et la réputation sont des actifs précieux. Le #CodeSocial, en promouvant la transparence et l’éthique des entreprises, peut contribuer à renforcer leur crédibilité et leur réputation, ce qui est crucial pour le succès à long terme dans un marché basé sur la connaissance.

    En résumé, le #CodeSocial peut être vu comme un facilitateur et un amplificateur des principes de l’économie de la connaissance. Il encourage les pratiques commerciales qui ne sont pas seulement bénéfiques sur le plan économique, mais aussi socialement et éthiquement responsables. Cette approche est alignée avec l’évolution vers une économie qui valorise non seulement les bénéfices financiers, mais aussi l’impact social et environnemental, le partage de connaissances, et la collaboration. En soutenant des pratiques commerciales transparentes, éthiques, et responsables, le #CodeSocial contribue à façonner une économie de la connaissance plus durable, inclusive et équitable.

  • L’économie de la connaissance

    L’économie de la connaissance

    Cette notion fait référence à une économie immatérielle fondée sur le savoir et la connaissance.

    C’est une économie de plus en plus importante qui est au coeur de nombreuses politiques

    publiques nationales et européennes. Le savoir et la connaissance sont des matières  premières abondantes et non polluantes. Cette économie est souvent oubliée dans le développement territorial rural alors que la richesse des savoirs faire, l’importance des connaissances locales, les liens sociaux sont des éléments structurants de cette nouvelle économie. La démarche #CodeSocial veut permettre de valoriser et de développer l’économie de la connaissance et en faire une partie intégrante de l’économie.

  • Pourquoi pas ?

    Pourquoi pas ?

    Tout est potentiellement source d’émerveillement, d’étonnement et donc de questionnements.

    Lorsque nous sommes de jeunes enfants, nous découvrons le monde. Tout est potentiellement source d’émerveillement, d’étonnement et donc de questionnements. Nous commençons à parler et le « Pourquoi ? » enrichit alors très vite notre vocabulaire naissant. Nous lançons de nombreux « Pourquoi ? » du tac au tac, vifs, parfois déstabilisants. Nos « pourquoi » ne sont pas nécessairement suivis d’autres mots. « Nous sortons. Mets tes bottes, s’il te plait. », nous demande notre maman. « Pourquoi ? », lui lançons-nous. Puis, en grandissant, nos « pourquoi » deviennent plus élaborés (« Pourquoi la lune est-elle ronde ? ») et d’autres questions viennent enrichir notre vocabulaire et notre regard sur le monde : « Comment sait-on que l’on vit ? », par exemple. 

    Enfants, c’est d’abord notre quotidien que nous questionnons. Puis, petit à petit, nous ouvrons les yeux sur le monde et nos questions se mettent à pointer ses injustices, ses absurdités, ses dysfonctionnements. Nos questions mettent des coups de projecteur sur ce qui, à nos yeux, ne tourne pas rond : cette voisine âgée à qui sa famille ne vient plus rendre visite (« Pourquoi ? »), cette rivière où la pêche est désormais interdite (« Pourquoi ? »), ces illuminés qui font des victimes innocentes (« Pourquoi ? »). 

    Les questions que nous soulevons lorsque nous sommes enfants sont plus que légitimes. Pourtant, nos parents, nos professeurs, nos proches ne sont pas toujours très à l’aise pour y répondre. Et quand, tels de bienveillants enquêteurs, nous enchaînons nos questions, il arrive que la réponse que nous obtenons finalement soit : « Eh bien, parce que c’est comme ça ! ». 

    Quand nous devenons adultes, on nous demande souvent de croire à l’incroyable, d’accepter l’inacceptable, de trouver logique ce qui ne l’est pas. On nous demande d’accepter le monde tel qu’il est et d’y trouver notre place. Pourtant, notre voix d’enfant continue de nous chuchoter : « En fait, c’est plutôt comme ceci qu’il faudrait faire pour que les choses aillent mieux. ». Nous pouvons bien sûr faire comme si nous ne l’avions pas entendue. Mais, nous pouvons aussi y prêter l’oreille. 

    Oser écouter ce que nos voix d’enfants ont à nous dire pour que, tous ensemble, nous puissions agir concrètement et contribuer à des changements positifs pour le monde. 

    Tes questions sont d’une puissance incroyable pour améliorer le monde. Continue de t’en poser chaque jour. Tes « pourquoi » sont légitimes. Cela vaut le coup de les transformer en « pourquoi pas ». Et, en t’entourant des bonnes personnes, c’est par tes actions que tu vas pouvoir y répondre !

    La démarche #CodeSocial est une brique de construction massive pour construire une société apprenante et agissante. C’est une démarche qui pose la question de la cohérence entre les intentions et les actions. Un formule magique pour rendre concret nos rêves d’un mode vivant et joyeux. La connaissance c’est trouver un réponse à des problèmes. C’est une dynamique et la démarche #CodeSocial est une proposition d’animation de cette dynamique.

    Ce texte est inspiré d’un texte écrit en amont de la résidence créative « Pourquoi pas ? Carte blanche à l’avenir des pixels. »

  • La Révolution du sourire

    La Révolution du sourire
    La démarche #CodeSocial a été imaginée en 2013 pour accompagner le développement de l’idée de la Révolution du Sourire

    “La Révolution du Sourire” est venue d’un cri du cœur,  d’une volonté de qualifier l’action et de lui donner du sens.Une façon de « ré-habiter » les lieux de proximité et le quotidien d’une énergie positive, de redonner la place aux rêves dans des actions concrètes, de comprendre qu’il suffit de mettre un petit nombre de paramètres en place pour faire reculer l’individualisme dont le monde souffre, de repousser les limites et d’augmenter le champ des possibles. Marcher sur des utopies, c’est, à force de conviction et de travail, leur donner corps. Travailler sans relâche sur la transversalité évidente de la vie. Fonder l’action sur l’échange et le partage, une non-violence active et déterminée prenant sa source dans une “spiritualité ouverte”. En fait, participer activement à la construction d’un monde de paix fondé sur le respect des êtres humains et de la nature.

    (Mathieu Coste – juin 2001)

    La démarche #CodeSocial a été imaginée en 2013 pour accompagner le lancement de la SAS ChezNous. Cette société avait comme objet de mettre en place les conditions du développement de l’idée. Le #CodeSocial a structuré le développement de la société jusqu’en 2019. Après la liquidation de la société, une démarche de compostage du capital immatériel a été facilité par la démarche #CodeSocial. L’actualisation est portée par la SAS WeMob et la création et le développement d’un écosystème contributif #OpenSource.

    Dans le cadre de ce compostage, La Révolution du Sourire devient une marque pour désigner une démarche coopérative d’information basée sur l’approche de la cartographie de la controverse. Les membres de l’écosystème contributif animé une démarche d’éducation populaire ouverte et permanente avec l’objectif e dynamiser le développement d’une économie de la connaissance au service du vivant et de la joie.