SE RELIER, SE METTRE EN MOUVEMENT, SE MOBILISER EN CONSCIENCE, AVEC COEUR ET AMOUR

La pyramide inversée : comprendre la structure des responsabilités

une notion au service de l’holoptisme nécessaire à la diffusion de l’intelligence collective

Comprendre la notion des parties prenantes au regard du modèle de la “pyramide inversée”. C’est un modèle constitué des interactions de trois types d’acteur : auteur, éditeur et producteur. L’objectif de l’organisation en “pyramide inversée” est de faciliter la construction de  la confiance et des conditions de la coopération.

Structure de la pyramide :

L’auteur est celui qui porte l’idée et qui construit le démarrage du projet. Il prépare le moment où le projet peut devenir collectif. Il crée les conditions de la coopération. L’auteur définit l’orientation ou “ligne de conduite” propre au projet ; il pose les grands principes et les limites pour indiquer à l’éditeur les critères qui permettront de formuler les règles de fonctionnement de la communauté autour du projet. L’auteur garde une influence (consultative) mais n’est plus le seul à décider dès lors que l’éditeur et le producteur entrent en jeu.

Les co-auteurs sont les personnes du premier cercle des contributeurs. Ils étaient là alors que l’idée était émergente.

L’éditeur est celui qui garantit les conditions de fonctionnement de la communauté. Il porte les questions financières et juridiques. Il crée des liens forts et contractuels. Il maintient le Système d’Information et les conditions de son animation. Il met en œuvre les volontés des contributeurs. Il s’assure de la cohérence entre ce que propose le contributeur et le projet initial de l’auteur. L’éditeur a la responsabilité de l’évolution du #CodeSocial au regard des contributions tout en gardant à l’esprit l’esprit initial du #CodeSocial.

Les contributeurs sont les membres de l’écosystème. Ils utilisent leur droit d’initiative en participant à la vie de la communauté. Leur présence est une preuve d’attention et de partage d’énergie. Ils constituent une sorte d’assemblée générale permanente. Les interactions au sein de l’écosystème contributif produisent des richesses (projet, sous projet, recherche collective de solutions, réseau d’entraide…). La matrice de richesses permet de valoriser ceux qui participent et s’impliquent beaucoup tout en permettant et respectant les micro contributions.